Un reportage très émouvant qui donne vraiment envie de trouver une de ses créations. Dire que ce fut le dernier dans sa spécialité en France. Triste....
Très beau reportage. Dommage qu'il fasse figure d'archives. Quand je compare la qualité et la finesse des sculptures des pipes en écume du siècle dernier, avec ce que l'on produit en général, aujourd'hui : je me dit qu'on a vraiment perdu un savoir-faire.
Jademir était la marque d'un importateur, Monsieur Demir. Quant à Jean Nicolas, il ne fabrique pas de pipe en écume de A à Z à partir d'un bloc, comme le faisait Philippe Bargiel.
Très beau reportage. Dommage qu'il fasse figure d'archives. Quand je compare la qualité et la finesse des sculptures des pipes en écume du siècle dernier, avec ce que l'on produit en général, aujourd'hui : je me dit qu'on a vraiment perdu un savoir-faire.
Ce n'est finalement pas si vieux que ça, et pourtant ça paraît si éloigné de notre présent, et ça l'est bien... J'ai une écume Bargiel et le perçage est peu ordinaire, à ma connaissance : au lieu d'être classiquement dans le prolongement de la tige, il est sur le dessus du fond du foyer (pas sûr d'être très clair). Même type de perçage sur une de mes écumes qui date de la fin du 19ème siècle, en gros.
Je suis ravi de voir que mon film réjouit plein de personnes qui rendent hommage à ce grand monsieur Philippe Bargiel. Pour moi ça a été une très belle rencontre avec un super professionnel passionné. Continuez de le partager
J’ai rencontré Philippe Bargiel en février -mars 1992, à l’époque du passage des Princes puis de son installation à Creil, où je lui ai aussi rendu visite. J’ai eu l’occasion de lui acheter plusieurs pipis plusieurs de l’époque Sommee . C’était un monsieur très attachant et je vous remercie pour ce très beau documentaire qui restitue à merveille cet homme passionné et extrêmement modeste. Sa formation de sculpteur d’après mes souvenirs de conversations était relativement pointue puisqu’il avait fait une école d’art et conservait ce sens dans toutes ces réalisations.. Il m’a réparé des pipes et je lui ai aussi montré des réalisation d’un turc de Poitiers selon sin expression qui trétait aussi ses pipes au blanc de cachalot. J’apprends avec tristesse sa disparition et regrette beaucoup de ne plus l’avoir vu depuis les années 2000. C’est une rencontre qui marque une vie.
18 commentaires :
Trés beau reportage, merci Nicolas :)
Merci Nicolas. De nous faire redécouvrir avec émotion ce fantastique artisan pipier.
Beau document, merci de l'avoir rappelé.
Un reportage très émouvant qui donne vraiment envie de trouver une de ses créations. Dire que ce fut le dernier dans sa spécialité en France. Triste....
Sauf erreur, il a été le seul pipier français à fabriquer en écume. Donc le dernier si on veut...
Il y a eu aussi Jademir à Chartres et Jean Nicolas à Lyon.
Très beau reportage. Dommage qu'il fasse figure d'archives.
Quand je compare la qualité et la finesse des sculptures des pipes en écume du siècle dernier, avec ce que l'on produit en général, aujourd'hui : je me dit qu'on a vraiment perdu un savoir-faire.
Jademir était la marque d'un importateur, Monsieur Demir. Quant à Jean Nicolas, il ne fabrique pas de pipe en écume de A à Z à partir d'un bloc, comme le faisait Philippe Bargiel.
Très beau reportage. Dommage qu'il fasse figure d'archives.
Quand je compare la qualité et la finesse des sculptures des pipes en écume du siècle dernier, avec ce que l'on produit en général, aujourd'hui : je me dit qu'on a vraiment perdu un savoir-faire.
Sympa de revoir le passage des princes et les vitrines de la maison Sommer où Philippe travaillait, seul dans cette immense "boutique-atelier"
Hélas Philippe Bargiel n’utilisait plus de blanc de baleine, mais l’avait remplacée par de l’huile de jojoba. Il préférait laisser planer le doute.
Ce n'est finalement pas si vieux que ça, et pourtant ça paraît si éloigné de notre présent, et ça l'est bien...
J'ai une écume Bargiel et le perçage est peu ordinaire, à ma connaissance :
au lieu d'être classiquement dans le prolongement de la tige, il est sur le dessus du fond du foyer (pas sûr d'être très clair).
Même type de perçage sur une de mes écumes qui date de la fin du 19ème siècle, en gros.
Je suis le réalisateur de ce documentaire.
Je suis ravi de voir que mon film réjouit plein de personnes qui rendent hommage à ce grand monsieur Philippe Bargiel.
Pour moi ça a été une très belle rencontre avec un super professionnel passionné.
Continuez de le partager
Lécio Simoes
Merci et bravo pour ce portrait-documentaire que nous aimons beaucoup.
Votre documentaire est disponible sur YouTube et peut être partagé ou intégré librement. C’est l’option que vous avez choisie.
J'ai supprimé mon commentaire qui en réalité ne vous était pas destiné.
Merci d'avoir partagé ce document avecun magnifique Philippe Bargiel
J’ai rencontré Philippe Bargiel en février -mars 1992, à l’époque du passage des Princes puis de son installation à Creil, où je lui ai aussi rendu visite.
J’ai eu l’occasion de lui acheter plusieurs pipis plusieurs de l’époque Sommee . C’était un monsieur très attachant et je vous remercie pour ce très beau documentaire qui restitue à merveille cet homme passionné et extrêmement modeste. Sa formation de sculpteur d’après mes souvenirs de conversations était relativement pointue puisqu’il avait fait une école d’art et conservait ce sens dans toutes ces réalisations.. Il m’a réparé des pipes et je lui ai aussi montré des réalisation d’un turc de Poitiers selon sin expression qui trétait aussi ses pipes au blanc de cachalot. J’apprends avec tristesse sa disparition et regrette beaucoup de ne plus l’avoir vu depuis les années 2000. C’est une rencontre qui marque une vie.
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